Dans ce guide de promotion d’une infographie, nous allons tenter ensemble de dessiner la stratégie « parfaite » pour promouvoir son infographique, une fois celui-ci créé.

Le constat : vous avez pris du temps pour réaliser une belle infographie, du temps pour faire vos recherches, du temps pour les synthétiser, et du temps encore pour les mettre en images. Si vous n’y avez pas passé de temps, peut-être avez vous alors dépensé de l’argent pour que quelqu’un s’en occupe à votre place.

Vous savez quoi ?

Peu importe par quels moyens vous avez obtenu votre belle infographie, si personne ne la voit, elle tombera dans le néant des infographies, avec toutes les autres, jusqu’à ce qu’un beau jour, quelqu’un tombe dessus, la reprenne et s’en inspire, quitte à faire mieux, et assure la promotion de cette nouvelle infographie sans vous en donner les crédits ! C’est ça que vous voulez ?

Vous ne voulez pas ça !

La règle est simple, pour chaque heure passée à faire votre infographie, prévoyez en 2 pour la promouvoir, c’est un minimum.

Comment ? C’est ce que nous allons voir !

#1. Donner une place de choix à votre infographie

Chaque infographie a besoin de son propre espace de vie, espace qui doit fournir des informations utiles à la compréhension du graphique, autant pour les moteurs de recherches que vos lecteurs.

Vos mots clés doivent avoir été sélectionnés avec soin, tout comme vos balises de titres.

Pour ce lieu de vie de votre info, veillez donc à ce que votre page contienne :

  • Une balise title optimisée
  • Une meta description réfléchie
  • Une liste de mots clés pertinents intégrée au sein de paragraphes textuels et de titres percutants et clairs
  • Un embed code prêt à l’emploi pour obtenir des liens retours
  • Une image de couverture « miniature » (partie haute de l’infographie tronquée) pour que le partage sur les réseaux sociaux soit efficace
  • Des points clés de vos infographies repris et parsemés dans votre texte, tous prêts à être twittés

Notes :

Pour générer des embed code, utilisez l’outil de siegemedia. Pour le dernier point, il existe des tonnes de plugins sur WordPress comme Click To Tweet pour vous faciliter la tâche. Je crois que la suite de SumoMe propose aussi une extension similaire.

Une fois que vous avez tout déchiré sur cette première partie, il est temps de passer à l’attaque et d’aller promouvoir votre infographie en dehors de votre site, parce que si vous attendez que tout se fasse…comment vous dire…

D’autant que si vous publiez votre IG sur un post de votre blog, celui-ci aura tendance à perdre de sa visibilité au fil du temps, à mesure que vous ajoutez du nouveau contenu, à moins qu’il ne soit source de trafic naturel parce que vous vous êtes déchiré sur le SEO du post.

#2. Un peu de CP quali, toujours bons à prendre

Il est bon de diversifier son profil de liens, de rédiger quelques communiqués de presse optimisés en termes de SEO pourra améliorer votre visibilité, potentiellement votre positionnement (en fonction de la concurrence), donc votre trafic direct et vos chances de faire du linkbaiting.

Utiliser une source officielle de CP est une occasion parfaite de raconter l’histoire qui se cache derrière votre infographie, de raconter comment vous vous y êtes pris pour vos recherches et ce que vous en avez appris.

Votre CP doit être travaillé, unique, il doit se distinguer de la masse, parce qu’il y a une chiasse de CP publiés chaque jour.

  • Le titre est le premier paragraphe sont les clés du succès de votre CP, réfléchissez y et trouver une tournure de tueur, quelque chose qui ne pourra laisser autre choix à votre lecteur que de vouloir en savoir davantage, je ne dis pas non plus de faire du titre putaclick…mais bon
  • Tentez une approche unique, on a toujours tendance à reprendre ce que les autres font, mais essayez de vous dissocier de la masse en proposant quelque chose de nouveau
  • Laissez votre contenu parler pour vous et répondre aux problèmes de votre audience. Posez-vous la question, c’est quoi votre marché ciblé ? Apprenez à connaître les problématiques de votre audience sur un plan personnel, afin d’être sûr que vos données y répondent.
  • assurez-vous de la pertinence de votre infographie, si les personnes qui atterrissent sur votre communiqué de presse grâce à une recherche découvrent que vous n’avez pas respecté la promesse que vous avez faite dans votre titre putaclic….ça va mal allez pour vous ! Soyez sûr de résoudre les problèmes de votre public et assurez-vous sans aucun doute que l’infographie est pertinente et significative.

#3. Une pincée de réseaux sociaux

Pour cette partie, je vous laisse lire mon article sur la stratégie de partage de réseaux sociaux pour votre infographie.

Campagnes payantes

La plupart des campagnes de social media incluent les publicités payantes. Cela va dépendre de votre budget et de votre audience, mais je pense que si vous avez payé ou passé du temps à faire une infographie pertinente, autant jouer toutes vos cartes à fond !

Que vous passiez par Google, Facebook, Twitter, Linkdin, peu importe, il va vous falloir un plan d’action
N’hésitez pas à relancer vos campagnes de publicité tous les quelques mois, à moins que votre infographie ne soit vraiment plus d’actualité où que les chiffres soient totalement changés.

Pour aller choper des infos sur les Facebook ads, je vous conseille le site d’EurasianGuru, vous y trouverez des perles d’infos et en apprendrez plus sur les bonnes méthodologies à adopter, ce type est un tueur !

#4. Un peu (beaucoup) d’outreach

L’outreach, c’est la manière de dire « regarde ici coco y’a du lourd, partage STP« , de manière plus ou moins subtile, parce que oui, le but est de promouvoir son infographie, mais aussi de pécho des liens au passage !

Si vous avez déjà essayé d’aller glaner du lien, vous voyez certainement de quoi je veux parler, les résultats sont mitigés, certains y parviennent très bien, d’autres se font cramer à 3km (genre ceux qui utilisent un template de mail et oublie de changer le nom du destinataire…oups).

Le fait est que c’est de plus en plus répandu, et donc de moins en moins bien accueilli (ce n’est que mon point de vue), vous avez donc intérêt à sacrément bien cibler et proposer quelque chose qui ait vraiment de la valeur pour votre interlocuteur.

La bonne nouvelle, c’est qu’il y a un peu plus de marge de manoeuvre avec les infographies, ce n’est pas encore trop répandu, pas encore !

Vous avez en face de vous deux grandes cibles, ceux qui ont des blogs dans la thématique de votre infographie et sur lesquels un petit lien vers votre site vous ferez #kikitoutdur, et ceux qui possède des comptes Facebook/Twitter populaires, bien thématisés et dont la publication de votre infographie déclencherait un tsunami de partages.

Le Guestographics : la technique de la mort qui tue

guestographics brian dean method

Brian Dean, le papa du « Guestographics »

Bon, vous avez compris, la technique est très simple, il suffit de repérer sa proie et de lui faire comprendre que c’est dans son intérêt de partager sur son site (ou ses réseaux sociaux) votre infographie tout en y mettant un lien vers votre site.

Celui qui parle le mieux de la démarche est sans doute l’illustre Brian Dean, qui lui a même filé un petit blaze sympatoche : le « Guestographics » (ah les ricains et le Marketing !).

Cette technique de fifou se résume en 5 étapes :

  • #1 Poster une infographie sur son propre site
  • #2 Trouver des (bons) sites (pertinents) qui parlent du sujet (et ont de belles courbes)
  • #3 Leur montrer l’infographie en question
  • #4 Leur offrir du contenu unique et prêt à l’emploi
  • #5 Compter les backlinks baby

Le nerf de la guerre, c’est les étapes 3-4, si vous ne faites pas preuve d’un peu d’originalité dans vos messages, c’est cuit, personne ne vous répondra.

Détaillons tout ça ! Nous avons déjà abordé le point #1 en tout début de l’article, filons au point #2.

Spottons les bons spots : de l’importance de bien cibler

Vous allez devoir repérer tous les sites dans la thématique de votre infographie qui présente un bon trafic et/ou de belles metrics et les lister avant de les aborder gentiment, pas en mode « Uesh wassup’ negga gé une infographie qui déboîte fais un link STP bâtard ». ( notez que je n’ai pas tenté cette approche, peut-être fonctionne-t-elle, sur un malentendu ? )

Si vous voulez que votre infographie déclenche un ouragan de partages, il va falloir viser juste et bien, attaquez-vous aux blogueurs à succès et autres twittos bien populaires.

Il ne faut pas que vous ayez peur de vous en prendre aux gros poissons, si vous vous y prenez bien et que votre proposition est bonne, il n’y a pas de raisons pour que cela ne fonctionne pas. Considérez votre offre comme un privilège que vous allez octroyer.

Tout le monde aime les infographiques, pas de doute la dessus, pour peu que votre cible ait un lien privilégié avec l’univers du graphisme, et c’est bingo, peu importe qu’il soit ultra populaire ou non. Vous serez surpris par le nombre de personnes prêt à relayer de bonnes infographies !

Quoi qu’il en soit, gardez bien à l’esprit que vous n’avez strictement rien à perdre dans cette histoire, au pire le type vous ignore et alors ? Le ridicule ne tue pas.

Si vraiment vous avez trop honte de vous prendre un stop de cowboy, alors prenez une fausse identité pour vous adressez à votre cible, pourquoi pas utiliser le personna d’une petite nana bien canon pour faire votre demande, ça passe souvent mieux.

Quelques pistes pour vos recherches :

Utilisez Twitter et les groupes Linkedin pour trouver des personnes qui sont dans votre thématique et ont la passion de l’infographie.

Le premier outil pour votre recherche, c’est évidemment notre cher Google, cherchez les blogs qui parlent de la thématique ou du sujet de votre infographie. Pour cela, rien de tel que de bons footprints, je vous invite à lire cet article de Kevin (et à favoriser son blog), certes de 2014, mais qui n’a pas pris une ride, vous y apprendrez une bonne méthodologie pour débusquer des topics liés au vôtre.

Toujours pour votre recherche, je vous conseille ce tool gratos développé par skyrocket digital. Vous lui donnez un mot clé, il vous sort carrément une belle liste de spots que vous n’avez plus qu’à contacter…magique !

Faites une liste au fur et à mesure de vos recherches, n’hésitez pas à indiquer un commentaire en face de chacun de vos spots, avec une note de pertinence et de qualité. Il faudra vous creuser un peu plus pour approcher les influenceurs en haut de la liste !

Faites l’exacte même chose pour Twitter, entre des #mots clés dans tous les sens et contactez directement les utilisateurs concernés.

Établissez le contact, subtilement, pas comme des gros bourrins que vous êtes !

Essayez de vous connecter à ces influenceurs en tweetant, en les retweetant, en leur posant des questions ou simplement en leur parlant directement, faites ami ami avant de demander quoi que ce soit, ne mentionnez pas votre fichue infographie pour l’instant, faites-vous bien voir, ne vous faites pas cramer !

Vous n’êtes pas obligé de lustrer tous les blogueurs et twittos, seulement les plus influents 😉

Montre la leur (votre infographie)

Au moment voulu, quand le contact est bien instauré, BAM, offrez leur d’avoir un regard sur votre infographie, mais ne la divulguez pas de suite, ne montrez pas immédiatement toute votre main, attendez sagement c’est une stratégie en 2 temps !

Exemple :

« Tiens en fait t’ai-je dit que j’avais, pas plus tard qu’hier, publié une fascinante infographie sur la reproduction des abeilles au Népal, que dirais-tu d’y jeter un œil ? À moins que cela ne te file le bourdon (Didier) mdrr loool xptdr »

Brian lui, il procède différemment, il n’instaure pas forcément un contact avant et il envoie sobrement un petit mail du style :

Laissez moi vous traduire, je suis un peu bilingue en espagnol :

Kikoo, je faisais mes p’tites recherches tranquille le chat sur [ton sujet] quand je suis tombé sur ta page de merde incroyable !

J’ai beaucoup aimé la manière dont tu traites l’importance de la reproduction des seniors de plus de 80 ans et je ne peux qu’être entièrement d’accord sur ce point. Il se trouve, coïncidence de fou, que je viens justement de publier une infographie sur le sujet (ben voyons).

Toi qui sembles t’y connaitre et apprécié ce domaine (coquinou), j’ai pensé que tu serais intéressé d’y jeter un oeil ! Dis-moi si c’est la cas Gros Béco Bien Baveux Beau Brun

Jean-Augustin

Bon la, Jean Augustin n’aura probablement pas de réponse, mais analysons pourquoi son mail est malinois :

  1. Il fait semblant d’être arrivé là par hasard, personne n’y croit, mais il a l’air convaincu !
  2. Il fait semblant d’avoir lu tout l’article du gars en reprenant un fait de la seule partie du post qu’il ait vraiment lu.
  3. Il joue pas le relou et demande simplement si un tel connaisseur du sujet en question qu’est son interlocuteur est intéressé de voir son infographie (sans la divulguer ! le suspense est à son comble, le gars en face est en PLS devant tant de mystère)

Demandez-leur un retour

Une fois que votre cible a souhaité voir votre infographie, demandez lui ses retours, certains ont de superbes idées ! Appliquez-les et modifiez votre infographie.

Vos cibles seront d’autant plus enclines à partager l’infographie une fois que vous y aurez intégré leurs propres idées, c’est LA BASE !

Le coup de grâce : maintenant tu vas publier pour moi

C’est le moment de porter le coup de grâce, après plusieurs échanges sympatoches, demandez à l’influenceur s’il est intéressé par la publication de votre infographie.

Mettez-y les formes, proposez-lui de lui écrire un texte exclusif et unique, rien que pour lui, dans lequel vous glisserez le lien vers votre infographie originale (un lien contextualisé, c’est toujours mieux).

Accompagnez ce texte unique d’un embed code contenant votre infographie, et proposez-lui un endroit dans son site (une URL bien thématisée avec de bonnes metrics si possible). L’idée, c’est qu’il n’est absolument rien à faire cette grosse faignasse, pas de travail, que dalle, nada, juste récupérer un peu de contenu de valeur pour ses lecteurs.

Vous pouvez aussi lui soumettre l’idée directement au moment où votre interlocuteur vous demande à voir votre infographie, c’est comme ça que Brian procède avec ce type de message :

Traduction boiteuse :

Chic alors,

Voici le lien vers l’infographie : http://monsitedefifou/infographie Ah, j’allais presque oublier (mon cul), si tu désires publier cette infographie sur ton propre site, c’est calme !

En fait, je serais même ravi d’écrire un petit article pour l’accompagner, juste pour toi mon coquinou !

Kiss Kiss Bang Bang
Jean-Augustin

Que faire en cas de revers ?

Si cet enfoiré de blogueur/influenceur à refusé de partager votre superbe infographie, ne lâchez pas l’affaire, gardez le contact, en lui partageant de temps à autre les résultats de votre opération marketing, le nombre de vues de votre infographie, ou encore mieux, des exemples de blogueurs qui ont eux, accepté votre offre.

Parfois il suffit que l’influenceur voie que d’autres ont franchi le pas pour qu’il fasse pareil, c’est un des grands principes de persuasion.

A la réflexion, pourquoi ne pas commencer par publier votre infographie sur un autre de vos blogs (si vous en possédez plusieurs), ainsi vous aurez déjà un exemple à fournir pour tenter de « forcer la main » à votre cible.

Vous pourriez ainsi ajouter à votre modèle de mail :

à titre d’exemple, voici ce que j’ai fait pour moi un autre blogueur (URL)

Voilà pour la technique du Guestographics, résumons les clés :

  • Bien cibler son interlocuteur
  • ne pas être relou, être poli et ne pas vouloir aller trop vite en besogne
  • lui proposer un contenu unique, sensationnel et facile à publier pour lui

#5. Soumettre votre infographie dans les sites et répertoires dédiés

communiquer sur son infographieLe processus est carrément relou un peu ennuyeux, mais peut porter ses fruits, et c’est une étape essentielle pour rendre un infographique viral.

Il existe énormément de répertoires et de sites de soumission qui recueillent des infographies à votre disposition (surtout aux US). Je vous en ai d’ailleurs fait une liste juste ici.

N’oubliez pas non plus de nous envoyez vos infographies, nous serions ravis de les publier sur foliostars.

#6. Pourquoi pas une vidéo tant qu’à bien faire les choses !

S’il y a bien quelque chose qui parle encore plus aux gens qu’une image, c’est une vidéo. Vous pouvez tenter le coup, vous n’avez pas grand-chose à y perdre hormis un dimanche après midi pluvieux.

Découpez votre infographie, insérez un fond sonore, une voix off et faites quelque chose d’original, pas un truck monotone mou du g***d. Vous pouvez allez faire un tour du côté de fiverr pour la voie off, il y a des tonnes de gigs pour ça.

L’action suivante, c’est d’héberger votre vidéo sur Youtube et de la partager sur les réseaux sociaux. Youtube peut être intéressant comme source de trafic, il est souvent bien plus facile de vous y positionner que sur les moteurs de recherches traditionnels, quelques mots clés bien placés, un transcript vidéo, un bon titre, etc. suffisent dans la majorité des cas si vous êtes dans une niche pas trop concurrentielle.

Une fois que vos images ont été découpées pour les besoins de la vidéo, faites de la récup’, et fabriquez un Powerpoint détaillé, clair et concis que vous hébergerez sur Slideshare.

`#7. Emailing, parait que ça fonctionne toujours

On n’oublie pas le bon vieil emailing si on a une base de données conséquente ! Si vous envoyez une newsletter, ajoutez un lien vers votre infographie ne coûte rien, le fait est que les gens les adorent, et si cette dernière est bien réussie, ils seront ravis de :

  1. la découvrir
  2. la partager, si tant est que vous ayez bien ciblé votre envoi.

Et après ?

Il est important de mesurer le ROI de vos actions, si vous avez fait chou blanc, demandez-vous pourquoi ? Peu importe si vous avez merdé ou non, n’abandonnez pas, on ne peut pas triompher à tous les coups.

Améliorez sans cesse votre processus, faites vos propres tests, sur la manière d’aborder les influenceurs notamment.

Je pense que le tout premier mail est le plus important de tous, c’est comme faire une première impression et comme vous le savez, on n’a jamais deux chances de faire une première bonne impression.

Surveillez vos nouveaux backlinks, histoire de voir si vos actions ont été bénéfiques, regardez si ces spots vous ont amené du trafic, et surtout, remerciez bien les gens qui ont pris le temps de relayer votre infographie. Pour surveiller vos backlinks et tutti quanti, je ne peux vous orienter que vers Seobserver, le meilleur tool se SEO à mon sens actuellement.

Vous avez eu ce que vous vouliez c’est une chose, mais ce n’est pas une raison pour ne pas être reconnaissant nom du pipe en bois de boulogne !

Continuez de discuter avec vos nouvelles relations, peut être que vous pourrez vous même leur donner un coup de main plus tard (le juste retour des choses), peut être que vous pourriez avoir encore besoin d’un coup de pouce de leur part.

Note : si vous avez inclus un CTA à votre infographie, il peut être bon (impératif) d’en surveiller le taux de conversion et/ou le trafic qu’il a amené sur votre landing page. Si le résultat n’est pas bon, rien ne vous empêche d’essayer un autre CTA, une autre approche…

Si vous avez apprécié, partagez, commentez, dites moi vos techniques de fifou, vos outils etc etc !